mercredi 28 juillet 2021

Eglise Notre-Dame la Riche


Eglise Notre-Dame la Riche, rue Courteline








"L'histoire de Notre-Dame la Riche est mal connue. A peu près à l'endroit de l'édifice actuel, on est sûr de l'existence d'une église Notre-Dame la Pauvre au Xe siècle qui prenait en charge la sépulture des pauvres. L'origine de cette première église pourrait être la présence d'un tombeau de saint Gatien. Au XIIe siècle, on reconstruit une nouvelle église qui devient Notre-Dame la Riche (appellation attestée en 1202). Peut-être ce nom vient-il de l'afflux des pèlerins venus prier Notre-Dame et saint Gatien. (... ) Au XVe siècle, dans l'élan de construction qui a marqué la reprise économique de l'après-guerre de Cent Ans, l'église est totalement rebâtie. Pendant les guerres de Religion, les protestants mettent à sac l'édifice. A la Révolution, l'église Notre-Dame la Riche, qui n'est pas vendue, est aménagée en fabrique de salpêtre. Enfin, l'église est restaurée sous le Second Empire : nef et collatéraux, façades ouest et sud, couvrement de la nef, portails ouest et sud entièrement refaits. C'est ainsi qu'on peut venir la contempler."

Extrait du site : 
https://www.patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Tours/Tours-Notre-Dame-la-Riche.htm

dimanche 11 juillet 2021

Le Grand Théâtre


Au bout de la rue Corneille, le Grand Théâtre avec ses sculptures monumentales, signées Frédéric-Charles Combarieu, et ses curieuses boiseries vieux rose...​ ​

Il abrite aujourd'hui, l'Opéra de Tours et son orchestre symphonique


+info : https://operadetours.fr/fr/l-opera-de-tours/un-peu-d-histoire

 

La cathédrale Saint-Gatien



Façade de la cathédrale Saint-Gatien, en plein soleil un après-midi de juillet







+ info : https://www.patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Tours/Tours-Saint-Gatien.htm


Les ruelles du quartier de la cathédrale Saint-Gatien


 A deux pas de la cathédrale, la tranquillité des ruelles...







Enceinte gallo-romaine (IVe siècle)


Enceinte gallo-romaine et tour du Petit Cupidon, au jardin des Vikings, rue des Ursulines.

(première moitié du IVe siècle)











samedi 26 juin 2021

Rêver au jardin...








Ginkgo biloba, ou arbre aux 40 écus, planté en 1843, classé arbre remarquable en 2011, et arbre de l'année en 2021.(Circonférence : 7 m Hauteur : 23 m)


Plantations potagères au jardin botanique

 

Une grande variété de menthes
















Poivron, thym...



Piments, haricots, persil...



Céleri, flageolets...















Plantes à goût (goûts champignon, fromage, coca-cola...)

Vélocipède Michaux et Grand-bi au jardin botanique

Vélocipède Michaux ou Michaudine - 1861

 

  En 1861, Pierre et Ernest Michaux  adaptent des pédales sur la draisienne (ou vélocipède).

Grand-bi - 1869

















 Un peu plus tard, on essaie d'améliorer les performances en augmentant le diamètre de la roue avant.

mercredi 23 juin 2021

Invitation au voyage : les fresques de la gare de Tours



Installées en 1898, dès la construction de la gare (architecte : Victor Laloux), les dix-huit fresques en céramique, provenant des manufactures "Sarreguemines-Digoin" et "Janin et Guérineau", destinées à donner envie de voyager aux Tourangeaux, ont été déposées, rénovées, puis réinstallées en 2017.




















plus d'info : http://www.patrimoine-environnement.fr/restauration-de-la-gare-de-tours/

dimanche 20 juin 2021

Le Tour à Tours : clin d'oeil des jardiniers


Le Tour de France fait étape à Tours le 1er juillet.
Les jardiniers municipaux ont préparé une petite surprise aux cyclistes.


















plus d'info :  https://www.letour.fr/fr/etape-6

dimanche 2 mai 2021

Attention, bosses de trottoir !


 Ici, les trottoirs
ont des bosses,
façon baleines,
au début,
on trébuche...








A ma surprise, cette photo, publiée une première fois en 2011, suscite de nombreuses vues. Je m'interroge.
En réponse à quelles recherches mes visiteurs aboutissent-ils à cet article ? Les bosses de trottoir seraient-elles réellement une spécificité tourangelle ?
Il est vrai qu'il y a des années de cela, lors de mon emménagement dans cette ville, ces bosses qui bourgeonnent sur nombre de trottoirs m'ont étonnée, voire, dans les premiers temps, déstabilisée au sens propre du terme ! Le pied achoppe sur ces excroissances inattendues et on trébuche, on chancelle, on manque tomber parfois... jusqu'à ce qu'on apprenne à être plus vigilant et à baisser les yeux à chaque instant. Cela présente certes un avantage : on évite plus sûrement les déjections des chiens ! Mais que d'obstacles, d'embûches, que d'occasions de perdre l'équilibre et de chuter pour les personnes qui voient mal, les citadins âgés, les porteurs de béquilles, les distraits... Combien d'entorses et de poignets cassés ? 
Cette photo remonte à 2011, et il faut bien constater que, dix ans plus tard, les trottoirs à bosses sont toujours là et ne semblent pas en voie d'extinction. 
Tout comme les baleines à bosse d'ailleurs, qui, elles, après l'avoir été, ne le sont plus. Il y a l'environnement. Et il y a l'environnement. Ah ?